samedi 25 février 2012

La Culture c'est comme la Confiture (c'est trop bon) #1: mes aventures de la Saint Val.


Lecteur,

Sache qu'au moment où j'écris ces lignes, je brave une conjonctivite pas sexy du tout, histoire que ce blog continue à vivre.

Bref, attaquons le coeur du sujet:

A L'ASSAAAAAAUT!

... hem.


En ce jour bénit des fleuristes et autres chocolatiers qu'est le 14 février, j'ai célébré la fête des amoureux avec Cher et Tendre.
Ouais, je t'entends déjà venir avec tes gros godillots: "la Saint Val, c'est commercial", je sais. Mais comme je suis un vrai bisounours pur jus issu de la société de consommation, je la fête. Na!
Mais quitte à dépenser de l'argent, j'ai dit à C&T que je voulais aller voir Arlequin, valet de deux maîtres au Théâtre de la Comédie Italienne.

"Beut ouaille?!" me diras-tu.

Bikoz, ce petit théâtre a déjà fait l'objet d'articles dans différents journaux il y a deux ans parce qu'il était obligé de vendre des costumes pour éviter le dépôt de bilan, faute de subventions.


Mon petit coeur de bisounours avait été très peiné de le savoir en difficulté, d'autant qu'il s'agit du seul théâtre dans la région parisienne à jouer de la Comedia dell'arte.


Donc, acte engagé! \o/


Cette petite salle, c'est comme un petit cocon dans lequel se noue à chaque fois une superbe relation entre la troupe et son public, et je ris toujours comme comme si j'étais une gamine (et rire ça tend la peau). Je l'aime donc d'amour (et ça tombe bien, c'est le thème de la Saint Val).


Reconcentrons nos neurones sur Arlequin

(Mais d'abord, quelques gouttes de Collyre).


Crédit: La Comédie Italienne
(Ouais, l'affiche fait old school... mais faut dépasser ses a priori, toussa...)


De prime abord, Arlequin avait déjà tout pour me plaire... Beh oui, on a un grand centre d'intérêt commun: MANGER (oui, parce que même si je parle beaucoup de maquillage ici, j'ai d'autres passions dans la vie).

Et Emmanuel Besnault, du haut de ses 19 balais est tout bonnement génial dans ce rôle (je vous préviens, je suis devenue ultra fan). Bon, ses fringues sont pas sexy, mais c'est pas vraiment le but, hein... C'est Arlequin, pour mémoire.



Mention spéciale à la funky touch apporté à la pièce, qui ne fait pas du tout 16ème siècle (beh oui, Goldoni c'est pas tout jeune) qui fait qu'on n'a pas le temps de bailler (on est trop occupé à se bidonner en fait).

Bref, si tu veux une critique plus littéraire de la chooooose, va de ce côté . Ma conjonctivite et moi-même ne sommes pas en état de nous étendre plus sur le sujet et on te bonne nuite (ou te bonjourne, selon).

Que la force des bisounours soit avec toi!
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